IMG-LOGO
Accueil Article Accusée d’avoir reçu 25 millions de BLA pour le financement de ses activités politiques : Karine Arissani dénonce une campagne de dénigrement de la part de l’ancien directeur de cabinet et ses soutiens Ajeviens.
Politique

Accusée d’avoir reçu 25 millions de BLA pour le financement de ses activités politiques : Karine Arissani dénonce une campagne de dénigrement de la part de l’ancien directeur de cabinet et ses soutiens Ajeviens.

IMG Karine Arissani attaque les Ajeviens.

L’affaire est partie d’un document  portant sur le décaissement de fonds qui a fait le tour des réseaux sociaux. Le 19 mars 2018, Cécilia Karine Arissani, à l’époque directrice générale de l’Agatour, avait apposée sa signature  sur le document pour accuser réception, des services de la présidence de la  République, d’une somme de 25 millions de Fcfa. Motif ? Le financement de ses activités politiques. 

 

Il n’en fallait pas plus pour que dans l’opinion des voix s’élèvent pour demander  à celle qui occupe, désormais le poste de conseiller technique au ministère de la Décentralisation, de rendre des comptes sur   la perception des fonds publics pour le financement des activités dans  sa formation politique, en l’occurrence le Parti démocratique gabonais (PDG). Ce mélange de genres atteste de la  gabegie au sommet de l’Etat, s’indignent plusieurs observateurs.

 

La réaction de Cécilia Karine Arissani est immédiate. Si cette dernière ne nie pas les faits elle va immédiatement, sur sa page Facebook, restituer le contexte dans lequel elle avait reçu cet argent.  Pour Arissani cet argent représentait un soutien du Distingué camarade Ali Bongo, via son ancien directeur de cabinet, Brice Laccruche Alihanga ( BLA) ( aujourd’hui incarcéré) à ses actions politiques. « Si j’ai commis une faute la justice me convoquera. Si avoir été soutenue par le DCPR,  et DCDCP  est une faute, alors au moment du procès de  BLA,  la justice me convoquera et je m’expliquerai », dégaine-t-elle.

 

Non sans accuser  Brice Laccruche Alihanga d’avoir fait  publier de la prison centrale ce document : « Si c'est pour régler des comptes à tous ceux qui ont refusé de le soutenir dans ses problèmes ou une volonté de nuire à ma personne,  alors c'est pathétique ! Car sortir tout ça sur la place publique surtout lorsque l'on a occupé un poste aussi élevé,   ça fait juste pitié. »

 

Et de conclure : «  Je suis au calme, j’attends son procès et ma convocation par la justice suite à ce soutien financier, car j’ai foi en la justice de mon pays. Tout le monde saura parler. » Chaud devant !

 

 

Partagez:

0 Commentaires


Postez un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs marqués * sont obligatoires