Ils envisagent dans les prochains jours d’à nouveau bloquer toutes les activités au sein de l’Agence nationale des grands travaux et des infrastructures (ANGTI). Les 105 agents licenciés en novembre 2019 de cette entité réclament le paiement sans conditions de la deuxième tranche de leurs droits légaux. Ces derniers ne comprennent pas que la deuxième tranche de ces droits tarde à leur être reversée alors que le protocole d’accord signé indique que les indemnités transactionnelles devaient être reversé au plus tard au mois de février 2020.
Conséquence, les agents licenciés exigent que leur dossier soit inséré au sein du paiement de la dette intérieure que règle actuellement l’Etat aux entreprises privées. Les anciens agents fondent cette revendication sur la correspondance adressée par le ministre de l’Economie au directeur général du budget pour le paiement du reliquat. Chaud devant.
Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs marqués * sont obligatoires