De la prison centrale de Libreville, Bertrand Zibi Abéghé est consterné par l’annonce du décès de Casirmir Oyé Mba. Le prisonnier politique adresse un message de condoléance à sa famille politique et biologique. Lecture :
« Je suis effondré, meurtri du fond de ma cellule en apprenant ce matin le décès de celui qui m’a toujours considéré comme son fils, mon parrain politique. Je n’ai pas de mots pour exprimer ma peine. Je voudrais témoigner de mon attachement à son immense héritage qu’il nous lègue. Héritage politique, de rigueur intellectuelle et d’intégrité. Homme d’Etat dont le rayonnement atteint les confins de la sous-région d’Afrique, Casimir, tu laisses un trou béant dans nos cœurs de par cette absence prolongée, mais tu n’es pas mort, car les grands hommes de ta dimension ne meurent jamais. Adieu mon père. »
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