Le ton monte dans l’opposition et particulièrement au sein de la Coalition pour la nouvelle République (CNR). Dans un communiqué publié ce vendredi 29 mai, le regroupement politique dirigé par Jean Ping invite le peuple gabonais à la vigilance face à ce qu’il qualifie « de partisans de la division et de la destruction du Gabon ». La CNR accuse ouvertement certaines voix d’agiter la thèse du tribalisme.
Pour la CNR, certains veulent entrainer le pays vers d’autres chemins, rejoignant ainsi les rangs des partisans de la terre brûlée. Lesquels sont à l’œuvre depuis 2016 alors qu’ils ont été rejetés par le peuple gabonais aux dernières présidentielles. Le tout dans un contexte marqué par une crise sanitaire qui frappe tous les segments de la Nation.
Conséquence, la CNR réaffirme son rôle de repère, de référence et de gardien inlassable de la préservation du Gabon contre toutes les velléités et ruses conduisant à la guerre civile. Tout en se revendiquant être le seul détenteur de la souveraineté du peuple, Jean Ping invite le régime en place à partir sans avoir à brûler le Gabon. Car, conclut-il, aucun gabonais ne vous le pardonnera.
Ou nous n'avons toujours pas compris, ou nous faisons semblant de ne pas comprendre. Ce régime pourri et sanguinaire des Bongo -Valentin ( disons désormais simplement VALENTIN, car les Bongo c'est terminé) n'est pas prêt à laisser le pouvoir. Et de toute façon, ce régime est soutenu par la France et le Maroc. C'est ici le nœud du problème. Le ridicule roi du Maroc qui a soif de nos richesses veut mettre à la tête du Gabon un de ses fils bâtards en la personne de Nourredine Bongo (ou plutôt Valentin)... Et de toute façon, même si vous allez à l'élection présidentielle de 2023, vous allez perdre votre temps. Cette élection est jouée (truquée) d'avance. N'y allez pas. Revenez à l'élection présidentielle de 2016. C'est la seule vraie sortie de crise pour ne pas tomber dans le piège des Valentin, du stupide roi du Maroc et de la France aussi. CQFD.
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