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Election à la tête de l’Union Nationale : Paulette Missambo et son équipe déconstruisent les contre-vérités distillées contre eux

IMG L' équipe de campagne dans le sixième arrondissement de la commune de Libreville.

« Les visites de terrain de mon équipe de campagne se poursuivent », indique sur sa page Facebook, Paulette Missambo.  La candidate à la présidence de l’Union Nationale et les membres de son équipe ont organisé, le samedi  22 mai dernier, une rencontre avec les habitants de Nzeng-Ayong dans le sixième arrondissement de la commune de Libreville.

 

Là-bas, Dr Minault Maxime Zima Ebeyard  (Directeur de Campagne), Jean Gaspard Ntoutoume Ayi, candidat à la Vice-présidence du parti,   Sosthène Nguema Nguema, candidat au poste de Secrétaire exécutif adjoint,  Flavienne Adiahenot et Jean-Christophe Owone Nguema (respectivement représentants provinciaux de l’Estuaire et du Woleu-Ntem) sont allés déconstruire  tout ce qui a été dit à tort sur la candidature de Paulette Missambo. « Non, cette dernière n’est pas mourante. Paulette Missambo n’a pas peur des élections avenirs à la tête du parti », indique les membres de l’équipe de campagne.

 

Mieux, souligne Paulette Missambo,  ma candidature n’est ni complotiste, ni tribale. C’est pourquoi, souligne-t-elle nous ne voulons aucun arrangement d’arrière-boutique mais exigions l’applications stricte des statuts du parti.

 

Avant de rappeler à chaque militant que  la direction du parti n’est pas exclusivement réservée aux riches, elle est ouverte à tous les militants. 

 

Et de poursuivre : « Nos compagnons de Nzeng-Ayong savent maintenant que dans l’Union Nationale que nous allons diriger, le militant sera au centre de l’action et de la décision, qu’il ne subira plus le dictat des dirigeants qui pour la plupart n’ont aucune idée réelle de la vie du parti sur le terrain. Ils savent par conséquent que c’est à eux et à eux seuls que reviennent désormais le pouvoir de confectionner les listes de leurs représentants aux congrès, et le devoir de désigner leurs candidats aux élections nationales ou locales. »

 

Mais encore, les militants et militantes savent désormais ce qu’ils  devront faire au cours des l’assemblées générales de leurs coordinations, explique la candidate. « Ils savent aussi et surtout que les femmes et les jeunes auront une implication plus active et plus motivante dans la vie du parti. Ce qui les sortira du rôle de rabatteur de troupes et d’entretien d’ambiance qui leur était réservé jusque-là. Le message est passé », rajoute la candidate.

 

Prochain rendez-vous,  le samedi 29 mai dans la localité de Ntoum.

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