Le bureau du Synapef.
Vers une nouvelle paralysie du département des Eaux et Forêts ? C’est une hypothèse que n’écarte pas le Syndicat national des professionnels des Eaux et Forêts (Synapef). Dans une déclaration rendue publique, le mercredi 6 juillet, les partenaires sociaux sont montés au créneau pour dénoncer l’inertie et l’absence de solutions aux revendications posées sur la table.
Notamment, l’absence de réunions techniques consécutives au dialogue social renoué, la privatisation arbitraire de la prime 2021 à 440 agents publics nouvellement recrutés, la coupure injustifiée de 25% du montant de la prime 2021 à 200 agents et de 50% à 29 agents, la persistance des irrégularités contenus dans le fichier de paiement des primes, l’existence de comptes parallèles à celui rattaché à l’Agence comptable de l’Ecole nationale des Eaux et Forêts…
Sauf qu’en dépit de l’ouverture du dialogue le 27 mai dernier avec le ministre Lee White, le Synapef constate pour le regretter que la tutelle n’a pas proposé des solutions durables à cette crise. D’où l’invitation faite au gouvernement « à œuvrer à la préservation d’un climat social apaisé. Du reste, devant les soupçons de malversations financières et de gabegie au sein de ce département, le Synapef rappelle son attachement aux principes de bonne gouvernance et sa mission de défense des intérêts matériels et moraux des travailleurs.
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