Le Snec-Uob ne reprendra pas les cours si les mesures gouvernementales pour lutter contre la propagation de la Covid-19 ne sont pas respectées au sein de cette université. Cette décision a été rendue publique lors d’une déclaration rendue publique, hier 23 février.
Les Enseignants-Chercheurs et les Chercheurs réunis au sein du Snec-Uob exigent la satisfaction des conditions préalables pour lancer l’année universitaire 2020-2021. Cette décision, indiquent les enseignants, est fondée sur la volonté de respecter strictement les mesures gouvernementales édictées par l’arrêté n°0055/PM/MEFPTFPDS du 30 avril 2020 en ses articles 5 et 6.
Pour ce faire, le Snec-Uob exige « l’augmentation des capacités d’accueil qui passeraient de 8 000 à 45 000 places dans les salles de classes et amphithéâtres ; la mise à disposition des thermo-flashs et gels hydroalcooliques à l’entrée de chaque salle de classe et amphithéâtres ; le port du masque obligatoire et la mise en place d’une plateforme d’enseignements à distance (e-learning) ».
Le Snec-uob refuse d’endosser devant l’histoire, la responsabilité d’une catastrophe sanitaire certaine à l’Université Omar Bongo, accompagnée d’une catastrophe culturelle par l’entremise d’une formation continuellement au rabais.
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