La Dynamique unitaire a, dans le manifeste rédigé à l’occasion de la célébration de la fête du travail, le 1 er mai dernier, dénoncé ce qui s’apparente à une violation des droits des travailleurs de l’hôtel Wali Ré-Ndama. Les employés de cette structure hôtelière ont saisi la Confédération syndicale dirigée par Jean Rémy Yama pour dénoncer les conditions de leur mise en congés techniques. Lesquels salariés ont été du jour au lendemain priés verbalement de rester chez-eux. Sans protocole d’accord bipartite entre le syndicat de l’entreprise Synawali et l’employeur. Aucun accord sur les modalités de ce chômage technique.
Conséquence, des pères et mères de familles sont désormais à la maison ne sachant pas ce qui adviendra d’eux dans les semaines et mois avenir. La direction de la structure brille par un silence qui frise le mépris.
Inacceptable s’insurge, la Dynamique unitaire. Laquelle multiplie les dénonciations. Dans son manifeste du 1er mai, Jean Rémy Yama rappelle que la réquisition le 13 mars 2020 de cet hôtel pour la mise en quarantaine des personnes atteintes du Covid-19 n’a jamais fait l’objet d’un texte juridique pris par les pouvoirs publics. Pour la DU cet état de chose s’apparente à un braquage et à la confiscation d’un bien privé aux conséquences néfastes pour les employés.
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