Ils doivent répondre de la gestion de 250 milliards Fcfa mis à leur disposition par l’Etat gabonais dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Covid-19. Si pour le moment, il s’agit d’une procédure préventive, les membres du Copil doivent néanmoins être entendus par la Commission nationale de lutte contre l’enrichissement illicite (CNLCEI). D’après nos confrères du site en ligne Direct Infos, il s’agira pour le Pr Romain Tchoua (président du Copil) et les siens d’une procédure qui va consister à une déclaration des biens des différents membres. Un examen minutieux des différentes dépenses sera en outre mené pour s’assurer qu’il n’y a eu aucunes malversations financières des fonds reçus par cette entité.
(A suivre)
Votre titre est vraiment racoleur...????????♂️ Je n'y vois rien concernant un soupçon de malversations financières...
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