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Alexandre Barro Chambier à Cocotiers: « Nous somme là parce que l’heure est grave !»

IMG Alexandre Barro Chambrier échangeant avec les populations de Cocotiers

 

La visite d’Alexandre Barro Chambrier au quartier Cocotiers, le samedi 9 avril 2022 a constitué une véritable bouffée d’espoir pour les populations de ce quartier du 2e arrondissement de Libreville.   

 

Par Wilfrid Kombé Nziengui

 

« Nous somme là parce que l’heure est grave », Ainsi parle Alexandre Barro Chambrier a l occassion de la causerie politique organisee hier, samedi 9 avril à Cocotiers.

 

Devant les populations venues l’écouter, Alexandre Barro Chambrier est resté droit et objectif devant l’urgence de changer le cours de l’histoire politique de notre pays. « Je voudrai que vous puissiez dorénavant avoir l’espoir que vous ne puissiez plus dire ‘’on va encore faire comment ?’’ Parce qu’il y a des solutions pour les problèmes qui se posent » a-t-il indiqué.

 

Dressant le tableau sombre de la gouvernance actuelle, ABC a indiqué avoir été de ceux qui à l’époque ont tiré la sonnette d’alarme et par faute de n’avoir pas été compris, Chambrier a pris la décision de quitter le PDG afin de se mettre sur le chemin qui conduirait le Gabon vers le développement.

 

« Nous avons sacrifié nos positions pour tenir compte des intérêts supérieurs de la nation. L’utilisation inappropriée des fonds, la mauvaise gestion, tous ces facteurs de détournement de deniers publics faisaient que le Gabon était condamné à subir la crise qui se matérialise par le chômage des jeunes, la précarité et le manque de perspectives »

 

A vous les jeunes…

A l’endroit des jeunes, ABC n’est pas resté silencieux face aux maux qui minent la jeunesse gabonaise, laquelle, selon lui, a été marginalisée et précarisée par le système Bongo/PDG. Aux nombres des maux, il n’a pas manqué de parler de l’abandon des structures sportives désormais livrées à la merci de la verdure. Au chômage et au manque de structures scolaires.

 

« Ne vous faites pas acheter pour un tee-shirt, pour un billet de banque. Vous devriez prendre votre avenir au sérieux. Vous avez le choix entre la précarité et la reprise en main du pays, le redressement économique et social », a-t-il conclu avant d’inviter l’ensemble des populations à s’inscrire sur les listes électorales.  

 

 

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