Une vue du mouvement.
Ils étaient tous ou presque des « goudronniers » (enfants de la rue), avant de décider de changer de vie. Mais trouver un emploi relève des travaux d’Hercule au Gabon. Pour s’en sortir, nombreux de ces jeunes gabonais se sont lancés dans la vente de la friperie communément appelée ; « Moutouki ».
Avec cette activité, beaucoup se sont refait une vie. Sauf qu’au prétexte de la lutte contre la pandémie de la Covid-19, le gouvernement a décidé d’interdire ce commerce. Une décision jugée injuste par le regroupement des jeunes appelés « Génération Waze ».
« Leur demander de ne plus exercer, c’est les tuer, car l’alternative qui s’offre à eux c’est le retour à la rue pour tous types d’actes délictueux. » indique l’organisation avant de rajouter : « Il faut libérer le business des jeunes gabonais ça leur permet de vivre et de venir en aider à leurs petites familles.»
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