Elle attend concilier ses activités dans le secteur de l’Agroindustriel avec les préoccupations de préservation de l’environnement. La GSEZ-Nkok a, à l’occasion de la journée mondiale de l’environnement (ce 05 juin), annoncé le lancement d’une étude d’impact environnementale et sociale sectorielle. Objectifs, atténuer les risques potentiels d’atteinte à la biodiversité par les activités des industries présentes dans la zone économique spéciale de Nkok.
L’étude menée par un cabinet international indépendant, vise entre autres ; l’identification des zones sensibles ou des espèces vulnérables et la prévoyance des mesures de gestion en vue de préserver lesdites espèces.
Fort de cela, le groupe indique que la zone économique de Nkok abrite les mangroves dans une partie encore non exploitée. Leur protection étant nécessaire du fait de nombreux atouts (stabilisation du littoral, amélioration de la qualité de l’eau, lutte contre l’érosion), GSEZ-Nkok en collaboration avec la direction générale de l’environnement et de la protection de la nature s’engage donc à mettre en œuvre des mesures visant à protéger cette espèce végétale. Et de facto, les habitants et les espèces vulnérables qu’elles abritent.
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