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Politique

(Présidentielle 2023) Télesphore Obame Ngomo : « Omar Denis Junior peut être un plan B sûr pour la prochaine échéance présidentielle… »

IMG Omar Denis Junior, l'idée d'une candidature déjà en débat.

Alors que les partis politiques se réclamant de la troisième voie estiment déjà illégitime la candidature d’un autre fils ou petit-fils Bongo, le journaliste Telesphore Obame Ngomo affirme ouvertement son soutien à ODJ.

Trois ans avant la prochaine élection présidentielle. On assiste déjà, par déclarations interposées, à une guerre sans merci autour d’une probable candidature d’Omar Denis Junior.  Le fils d’Omar Bongo et d’Edith Lucie  est au coeur de toutes les attentions au sein de son pays d’origine.  Si la visite du petit-fils du président  congolais, Sassou Nguesso,  en mars dernier dans la province du Haut-Ogooué, avait suscité un vent de panique dans les arcanes du régime, l’idée de sa candidature est à l’origine des attaques du regroupement politique se réclamant de la  troisième voie.

 

Lors d’une déclaration donnée le mercredi 17 juin dernier,  Gérard Ella Nguema et les siens      ont indiqué que cette candidature comme celle de Noureddine Bongo Valentin serait frappée d’illégitimité car portée par les  héritiers de Bongo.  Un délit de patronyme qui n’a aucune valeur constitutionnelle, rétorque la clameur populaire.  Bien plus, le journaliste Teslephore Ngomo a, dans l’une de ses tribunes libres, rappelé au respect stricte de la constitution en ce qui concerne  toute  candidature à la présidence de la République. 

 

Désormais soutien inconditionnel  d’une candidature d’Omar Denis Junior ( ODJ), Obame Ngomo va plus loin en  indiquant qu’il ne revient à aucun citoyen d'ostraciser les ambitions d'un autre, surtout pas celles de ce brillant compatriote. En d'autres mots, poursuit-il, si un membre de la famille Bongo Ondimba souhaite être candidat, au même moment ou à la suite d'Ali Bongo Ondimba, il en a pleinement le droit. « On ne peut se dire démocrate et développer des théories ou des idées anti démocratiques. Au quel cas, on naviguerait dans une incohérence insoutenable »   indique  le directeur de publication du journal, Le Verbe de Ngomo.

 

Télesphore fait  en outre  remarquer que bien qu'ODJ a eu une mère d'origine congolaise avec des racines en provenance de Minvoul, Edith Lucie Bongo Ondimba, le fils d'Omar Bongo Ondimba reste un gabonais. Il est de notoriété publique que ce sont les divergences familiales profondes qui l'ont contraint de trouver refuge auprès de son grand-père, Denis Sassou Nguesso.  

 

Assumant pleinement un rôle de « VPR d’ODJ »,  Obame Ngomo dresse un portrait « d’homme propre » au petit-fils de Sassou Nguesso : « Car, ni les opérations de lutte contre la corruption et autres formes d'enrichissements illicites sous Omar Bongo Ondimba, ni les opérations Mamba ou Scorpion sous Ali Bongo Ondimba, ne peuvent le compter parmi les voleurs et bandits en col blanc de la République. Il n'y a jamais été associé. Ce qui naturellement fait de lui un Monsieur propre, donc fréquentable. »

 

Avant de conclure que : « nul doute que très bientôt le mouvement dynamique « agitez, agitez, agitez" refera surface. » Preuve que 2023  promet.

Trois ans avant la prochaine élection présidentielle. On assiste déjà, par déclarations interposées, à une guerre sans merci autour d’une probable candidature d’Omar Denis Junior.  Le fils d’Omar Bongo et d’Edith Lucie  est au coeur de toutes les attentions au sein de son pays d’origine.  Si la visite du petit-fils du président  congolais, Sassou Nguesso,  en mars dernier dans la province du Haut-Ogooué, avait suscité un vent de panique dans les arcanes du régime, l’idée de sa candidature est à l’origine des attaques du regroupement politique se réclamant de la  troisième voie.

 

Lors d’une déclaration donnée le mercredi 17 juin dernier,  Gérard Ella Nguema et les siens      ont indiqué que cette candidature comme celle de Noureddine Bongo Valentin serait frappé d’illégitimité car portée par les  héritiers de Bongo.  Un délit de patronyme qui n’a aucune valeur constitutionnelle, rétorque la clameur populaire.  Bien plus, le journaliste Teslephore Ngomo a, dans l’une de ses tribunes libres, rappelé au respect stricte de la constitution en ce qui concerne  toute  candidature à la présidence de la République. 

 

Désormais soutien inconditionnel  d’une candidature d’Omar Denis Junior ( ODJ), Obame Ngomo va plus loin en  indiquant qu’il ne revient à aucun citoyen d'ostraciser les ambitions d'un autre, surtout pas celles de ce brillant compatriote. En d'autres mots, poursuit-il, si un membre de la famille Bongo Ondimba souhaite être candidat, au même moment ou à la suite d'Ali Bongo Ondimba, il en a pleinement le droit. « On ne peut se dire démocrate et développer des théories ou des idées anti démocratiques. Au quel cas, on naviguerait dans une incohérence insoutenable »   indique  le directeur de publication du journal, Le Verbe de Ngomo.

 

Télesphore fait  en outre  remarquer que bien qu'ODJ a eu une mère d'origine congolaise avec des racines en provenance de Minvoul, Edith Lucie Bongo Ondimba, le fils d'Omar Bongo Ondimba reste un gabonais. Il est de notoriété publique que ce sont les divergences familiales profondes qui l'ont contraint de trouver refuge auprès de son grand-père, Denis Sassou Nguesso.  

 

Assumant pleinement un rôle  de «  VPR d’ODJ »,  Obame Ngomo dresse un portrait « d’homme propre » au petit-fils de Sassou Ngueso : « Car, ni les opérations de lutte contre la corruption et autres formes d'enrichissements illicites sous Omar Bongo Ondimba, ni les opérations Mamba ou Scorpion sous Ali Bongo Ondimba, ne peuvent le compter parmi les voleurs et bandits en col blanc de la République. Il n'y a jamais été associé. Ce qui naturellement fait de lui un Monsieur propre, donc fréquentable. »

 

Avant de conclure que : « nul doute que très bientôt le mouvement dynamique « agitez, agitez, agitez" refera surface. » Preuve que 2023  promet.

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