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Société

Situation explosive à Satram : Said Znaki et Mustapha Aziz snobent l’administration du travail

IMG Les agents de Satram n'acceptent plus les dérives de leur direction.

Les responsables de la société Satram refusent de réintégrer les délégués syndicaux licenciés depuis près d’un an. Ce, en violation des injonctions de la direction du travail de l’Ogooué-Maritime.

Se croient-ils en terrain conquis ? Au dessus des lois ? Dans  Un pays où ils peuvent se permettre d’ignorer royalement les injonctions de l’administration  publique ? Visiblement oui,  Said  Znaki, directeur général de Satram et Mustapha Aziz Président du conseil d’administration (PCA) de la même entreprise n’en ont cure des  décisions  de la direction générale du travail de la province de l’Ogooué-Maritime. Laquelle  exige, depuis octobre 2019, l’annulation des mesures  de licenciements de  cinq délégués du personnel.   

 

  Ipandji Maganga, Jacques Ouganda, Christian Assoumou, Franck Didier Birinda Digondi et Judicaël Moussavou   ont été débarqués de  la société alors qu’ils exigeaient de la direction de Satram le respect des droits des employés. Une situation  inacceptable.  les agents de l’entreprise encore en poste montent désormais au créneau pour dénoncer ce mépris. Ces derniers ont, à l’occasion d’un point presse  tenu,  le 15 mai dernier,  exigé le retour de leurs collègues en plus de la satisfaction de plusieurs points de revendications.  

 

Entre autres, le non-versement des cotisations Cnss et Cnamgs depuis six ans, le paiement de 15 mois de salaires (de 2017 à  2020), le paiement intégral des allocations de congés, le paiement des indemnités de départs volontaires et les services rendus des retraités entre les années 2017 et 2019.  La direction de Satram, là aussi,  fait fi de ces revendications. Pire, Said Znaki et Mustapha Aziz sont accusés de saboter  la mission de redressement judiciaire ouverte par le tribunal de Port-gentil. Une attitude qui met désormais le feu dans la société d’acconage et de transport maritime.  Les employés révoltés, comme jamais, préviennent sur de possibles règlement de comptes.

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2 Commentaires

Bouquet nd Georges - Jul 22, 09:58

Non ! C'est du génocide , ça c'est un génocide organisé, tout fait contre nous travailleurs, de cette société devant un tribunal sensé nous protéger par un redressement judiciaire, les syndic voulant nous sortir de ce génocide vous les avez tous écarté contre quoi ? Non, vous êtes l'une des causes de notre mort, de nos souffrances et ça nous l'avons très bien compris aujourd'hui, devenu ce que nous sommes, vous en êtes responsable satram paye les salaires du mois de janvier 2019 aux travailleurs en poste d'accord, mais ce même mois de janvier 2019, nous l'avons travaillé, nous qui sommes en grève pour revendication des arriérés de salaires depuis 2017 à 2020. Non Mrs les gouvernants épargné nous la mort lante que satram nous impose contre notre volonté,et non la celle de. Dieu, cette mort imposé a vos frères, sœurs, enfants et même petits fils. SVP Mrs demander leurs par humanisme de nous libérer,

Charles Aude Kombila - Jul 24, 18:46

La justice Gabonaise est complices de ce qui ce passe a Satram. Dans un vrai pays de droit. Le directeur général serais déjà en prison. Pour plusieurs chefs d'accusation a tout les degrés... Moi si j'étais procureur de la République. Où ministre de la justice Gabonaise... J'aurais fini avec ses marocains qui tuent mes compatriotes. Et tous leur complices tous au cachaut.. Toutes la direction générale Satram. Tous des voleurs. Des criminels Pourtant nous savons que ce n'est pas un problème d'argent .. Mais un problème de gestion..


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